Lectures
Le Paradoxe de la Vie

Loi de cause à effets

Nous croyons tous connaître cette loi alors qu’il n’en est rien

Nous croyons tous connaître cette loi alors qu’il n’en est rien, voilà pourquoi nous la transgressons.

Nous récoltons ce que nous semons. C’est l’approche que nous avons ce cette loi.

Malheureusement cette approche est incomplète.

L’enjeu véritable de cette loi met en évidence deux forces d’opposition: celle de l’ombre et de la lumière.

Les manipulations exercées par les forces de l’ombre sont de nature à nous infléchir vers le mal. Ce qui revient à dire vers le non-respect des lois de l’univers que défendent les forces du bien.

Lorsque nous nous laissons manipulé par les forces du mal, nous nous soumettons à son dictat. Nous créons par la même des potentiels négatifs qu’il nous faudra un jour rectifier.

Ces mêmes potentiels s’équilibrent par des potentiels positifs issus du respect des lois de l’univers autrement dit des forces du bien.

Lorsque nous cessons de nous soumettre aux forces de l’ombre, celles-ci nous abandonnent et nous renvoi à la loi de cause à effets.

Mais avec deux effets, un effet initial et un effet final.

Le premier nous renvoi à nos potentiels et le second à leurs conséquences.

L’équilibre, qui est la base du système universel, ne pourra se faire qu’après décompte de nos potentiels positifs et négatifs.

Par cette recherche d’un équilibre, l’univers nous invitera à rectifier nos potentiels négatifs en acceptant de les vivre par leurs opposés qui de fait deviendront complémentaire.

Et voilà le paradoxe, c’est parce que les forces du mal nous aurons abandonné que nous devrons assumer les conséquences de nos actes, autrement dit payer notre dette.

Voilà pourquoi il est douloureux de faire le bien et qu’il nous est si facile de continuer à faire le mal.

Se maintenir dans le mal est en fait retarder l’échéance douloureuse de rejoindre les forces du bien.

Si je fais du mal je récolterai du mal mais uniquement à l’échéance autrement dit lors de l’effet final.

Par une plus juste compréhension de cette loi nous comprenons ce que nous avons coutume d’affirmer : le retour à la lumière se fait dans la souffrance.

En fait pour qu’il y ait souffrance il faut qu’il y ait résistance.

Résistance entre continuer dans l’ombre ou rejoindre la lumière.

C’est là qu’entre en jeu nos mémoires…

 

                                                                        Marc Lambotte